Le blog "Les Mille Étangs"

Voici quelques photos de ce marché réputé de Barcelone : un régal pour les yeux, les narines et le palais!

Pas de lignes droites à la casa Mila (la Pedrera), de centre de symétrie… et une imitation du monde vivant ; Gaudi, à la fin du XIXe siècle, s’inscrit dans l’Art Nouveau.

Para bailar la bamba
Para bailar la bamba
Se necesita una poca de gracia
Una poca de gracia para ti, para mí
Ay arriba, arriba.
Yo no soy marinero, yo no soy marinero
Soy capitán, soy capitán, soy capitán

Baila la bamba, baila la bamba.                                            

 Para viajar a España
Para viajar a España
Se necesita mucha curiosidad
Mucha curiosidad, para mí, para ti
Ay arriba, arriba.
Yo no soy marinero,
Yo no soy marinero de golondrinas
Soy capitán, Soy capitán

Viva España, viva España.

Para bailar la bamba
Para bailar la bamba
Se necesita una poca de gracia
Una poca de gracia para ti, para mí
Ay arriba, arriba.
Yo no soy marinero, yo no soy marinero
Soy capitán, soy capitán, soy capitán

Baila la bamba, baila la bamba.

(pour écouter la chanson)

Sur les toits ondulants de la “Pedrera” ou sur celui de la casa Batllo, les silhouettes des cheminées… inquiétantes au soleil couchant, ou davantage féeriques dans la nuit.

Ce livre m’a plu car le fait que Grand-père et Grand-Mère élèvent Petit-Arbre est généreux. Ils lui apprennent la vie, en lui faisant découvrir la nature. Chaque évènement lui apporte une connaissance : Quand Petit-Arbre se fait arnaquer par le chrétien , il fait plus attention à son argent et se méfie des gens.
Valentin.L (4e4)

J’ai aimé ce livre car  beaucoup d’épisodes m’ont fait rire, par exemple la grenouille que Petit Arbre dépose dans la veste Willow John ou encore les confessions publiques des femmes à l’église. Mais d’autres chapitres m’ont moins plu, comme les apparitions fantasmagoriques qui surviennent,alors que nous lisons un livre réaliste et non une fiction.
Tanguy C. (4e4)

   Dans ce livre, il y a des moments tristes comme la mort de Ringer dans le chapitre 10, ou bien dans le premier chapitre, Petit Arbre a perdu sa mère et se retrouve orphelin.
   L’épisode où Willow John a une grenouille dans la poche de sa veste, ou quand une chrétienne se confesse en public (chapitre 16), ou quand les deux bonshommes de la ville rendent visite à Grand Père qui leur joue un bon tour (chapitre 13) …, ces évènements m’ont fait rire. Ce livre m’a captivée.
Pauline ALLIX 4°4.

J’ai aimé ce livre car certains passages sont amusants, comme l’épisode avec la grenouille que Petit Arbre dépose dans la veste de Willow John. Dans ce livre il y a aussi des passages moins captivants, que je n’ai pas beaucoup aimés, comme les longues leçons de morale.
Johanna.C   (4e4)