Le blog "Les Mille Étangs"

Nous débutons en troisième la cinquième séquence consacrée au genre autobiographique. Voici la définition que Philippe LEJEUNE donne de l’autobiographie :

« Récit rétrospectif en prose qu’une personne réelle fait de sa propre existence, lorsqu’elle met l’accent sur sa vie individuelle, en particulier sur l’histoire de sa personnalité. »

Le blog ne se prête-t-il pas tout particulièrement à l’écriture du journal ? Ecrire les événements petits et grands de sa vie quotidienne, ou encore, à la manière de l’écrivain Michel Tournier :
“…le temps qu’il fait, les métamorphoses de mon jardin, les visites que je reçois, les coups durs et les coups doux du destin. On peut parler de journal sans doute, mais il s’agit du contraire d’un journal intime. J’ai forgé pour le définir le mot “extime“.”
Ecrire aussi à partir de photographies anciennes, d’histoires racontées par les grands-mères ou grands-pères…

A vos plumes pour l’écran-journal… DC

Le dernier jour a était beaucoup plus festif. Nous sommes allés à une bourse aux jouets organisé par le secours catholique qui est une association qui aide les plus démunis. Les jouets étaient des dons que des personnes avaient fait tout au long de l’année et vendu à des prix vraiment bas. Dans cette endroit également les gens ne donnaient pas souvent leurs permission pour passer à la télévision à cause de leurs précarités

Lors du quatrième jour, nous nous sommes dirigés vers une autre usine qui cette fois ci ferai du chômage technique au moment des fêtes de fin d’année et vers le moi de février. Le chômage technique est une période durant laquelle l’usine est fermé pour manque de travail.

Nous avons rencontrer des ouvriers qui y travailler. Cette usine fabriquer des pièces pour des voitures et avec la crise de ces temps ci, elle ne marchait plus aussi bien que auparavant. Malgré l’insistance de la journaliste Karine, nous n’avons pas pu rentrer dans l’usine comme à la précédente. J’ai compris que la presse, la télévision, n’étais pas très apprécié par les grosses entreprises. A part les ouvriers, il y avait peu de choses pour le reportage alors un des hommes a bien voulu nous emmené chez lui et montrer qu’il allait être difficile de vivre pendant ces jours de chômes. En allant à son domicile, j’ai découvert qu’un reportage étais tournée comme un vrai film et qu’il fallait parfois plusieurs prises pour avoir un bon résultat.