Picasso représente la guerre.

12 décembre 2012

Lecture objective :

Ce tableau réalisé par Pablo Picasso (1881-1973) nommé «Guernica» à été peint en 1937 à Paris suite au bombardement. C’est un tableau peint à l’huile qui mesure 349 x 776 cm. Il n’y a pas de couleurs. Il représente une scène de violence, de douleur, de mort et d’impuissance. Ce tableau devint rapidement un symbole de la violence de la répression franquiste avant de se convertir en symbole de l’horreur de la guerre en général. De gauche à  droite : on voit une mère qui pleure son enfant perdu, il y a un taureau. On aperçoit des membres, (bras, jambes…) Il y a un cheval qui à une pointe qui lui sort de la bouche, des flammes partout et même un homme en train de brûler.

Lecture subjective :

Ce tableau évoque l’horreur d’un bombardement, les flammes, les mères/veuves éplorées, les cadavres qui jonchent le sol… On entend presque les cris des blessés, on voit toute la souffrance que chacun éprouve.

Marie – Charlotte G. (3°2)

Lectures orales…

9 décembre 2012

Laure enregistre sa récitation avec le logiciel Audacity et ajoute un bruitage en rapport avec le texte…
(cliquer : La chèvre) (Laure M. 6e5)

Le soldat français.

27 novembre 2012

Lecture objective :

Ce tableau se nomme en réalité ” Le poilu”. Il a été réalisé en 1917 par Steinlen Théophile Alexandre ( 1859-1923).
On peut voir ce tableau à Paris, au musée d’Orsay. Ses dimensions sont les suivantes :
-Hauteur : 2,000 m
-Longueur : 1,300 m
Nous pouvons voir, sur ce tableau à l’huile peint sur toile, un soldat français. Il porte sur lui un sac de couchage, de nombreuses sacoches ainsi que des bâtons de marche.
Il arbore une grande veste assez épaisse, au dessus de sa tenue militaire. Il regarde droit devant lui.
L’arrière plan  du tableau est de couleurs ternes, foncés.  On distingue à peine la limite terre-ciel.
Plus on se rapproche du premier plan, plus le sol est blanc, ce qui illumine un peu ce tableau.
En haut, à gauche, il y a inscrit 1917 et en bas a gauche, la signature du peintre.

Lecture subjective :

J’ai décidé de renommer ce tableau ” un soldat français” car son casque nous montre qu’il fait partie de l’armée française. De plus, son vrai titre est ” le poilu” qui est le nom donné au soldat français pendant les guerres.
Grâce à sa tenue vestimentaire, son sac de couchage et ses sacoches, nous pouvons penser que ce poilu part pour une longue expédition.
De plus, les couleurs de l’arrière plan montrent que les conditions météorologiques sont loin d’être bonnes. Je pense confirmer ceci car en plus des couleurs utilisées dans ce tableau ( dominantes bleu, vert et marron ) , on voit qu’il est chaudement habillé. Il porte de grosses bottes pour marcher dans la neige qui a l’air épaisse, car on voit son pied gauche s’enfoncer dedans. Le sol blanc peut effectivement faire penser à de la neige, ce qui renforce l’impression de dureté de ce tableau.

Alizée. B (3°4)

Mademoiselle Dufief, une infirmière pendant la Guerre

21 novembre 2012

Lecture objective :

Cette peinture se trouve actuellement au musée franco-américain du château de Blérancourt, à Blérancourt. C’est une huile sur toile.
Sur ce tableau, on voit une femme française qui porte un vêtement d’infirmière tricolore , avec la croix rouge représentée au niveau du cœur ( sur sa robe ), et sur l’épaule gauche du manteau. Elle regarde vers la gauche, au loin. Le fond est fait de couleurs terne; on y voit une montagne, une maison et un ciel gris. L’infirmière se détache du reste du tableau par ses couleurs, plus vives que le reste.

Lecture subjective :
Elle regarde au loin, comme si un combat se déroulait, ou allait se dérouler. Dans sa position, on dirait qu’elle est prête à intervenir. Les yeux de l’infirmière reflètent le désespoir, devant tant de blessés, de morts… Elle se détache du fond pour signifier que les infirmières sont très importantes, surtout pendant la Guerre. Le fond terne symbolise la destruction du pays à cause de la Guerre.

Sarah L. ( 3°4 )

Haïkus…

24 juin 2012

Ecouter les haïkus…

Petit Arbre Forrest Carter

4 avril 2012

j’ai beaucoup aimé ce livre drôle et triste à la fois .Il est très réaliste et montre comment vivaient les indiens Cherokees. J’ai aimé le passage ou il rencontre Willow  John et qu’il mets la grenouille dans sa veste.Je n’ai pas aimé le passage ou il va a l’orphelinat c’est trop triste. En tout cas je vous invite a le lire

Emma Z.(6e2)

La rencontre : analyse du personnage de Ben…

13 mars 2012

Voici le diaporama réalisé par Marion, qui analyse le personnage de Ben, dans l’ouvrage de Allan W. Eckert :

Ben, l’enfant sauvage ?

Protégé : Sites et documents…

9 février 2012

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Le marché de “La Boquería”

11 décembre 2011

Voici quelques photos de ce marché réputé de Barcelone : un régal pour les yeux, les narines et le palais!

La Pedrera…

6 décembre 2011

Pas de lignes droites à la casa Mila (la Pedrera), de centre de symétrie… et une imitation du monde vivant ; Gaudi, à la fin du XIXe siècle, s’inscrit dans l’Art Nouveau.

Canción del viaje…

3 décembre 2011

Para bailar la bamba
Para bailar la bamba
Se necesita una poca de gracia
Una poca de gracia para ti, para mí
Ay arriba, arriba.
Yo no soy marinero, yo no soy marinero
Soy capitán, soy capitán, soy capitán

Baila la bamba, baila la bamba.                                            

 Para viajar a España
Para viajar a España
Se necesita mucha curiosidad
Mucha curiosidad, para mí, para ti
Ay arriba, arriba.
Yo no soy marinero,
Yo no soy marinero de golondrinas
Soy capitán, Soy capitán

Viva España, viva España.

 

Para bailar la bamba
Para bailar la bamba
Se necesita una poca de gracia
Una poca de gracia para ti, para mí
Ay arriba, arriba.
Yo no soy marinero, yo no soy marinero
Soy capitán, soy capitán, soy capitán

Baila la bamba, baila la bamba.


(pour écouter la chanson)

Les cheminées de Gaudi…

1 décembre 2011

Sur les toits ondulants de la “Pedrera” ou sur celui de la casa Batllo, les silhouettes des cheminées… inquiétantes au soleil couchant, ou davantage féeriques dans la nuit.

Une indienne…

15 novembre 2011

C’est l’histoire d’une petite indienne qui a été adoptée par des Français.  Elle décida, un jour, de retrouver ses parents,  ses racines et sa famille au Gondia.  Pour y arriver, elle a parcouru 8000 km. En chemin,elle rencontra un vieil homme  qui lui proposa de la guider tout au long de son chemin. Le trajet fut difficile , car ils n’avaient plus à boire. Ils continuèrent leur chemin. Mais soudain le vieil homme n’en pouvait  plus, alors l’ indienne continua toute seule. Elle arriva vers une forêt, elle découvrit une cabane. Elle entra, et vit ses parents pauvres. Elle décida de les aider. Elle leur donna à manger et à boire. Et elle alla leur acheter des habits. Ils étaient tellement heureux qu’ils lui dirent merci. Et deux semaines après ils retournèrent chez eux. Et la famille vécut heureuse pour toujours.

Angéline.J (6e4)

Protégé : L’orpheline…

15 novembre 2011

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